Bien Dormir

Bien manger pour bien dormir !

Quels sont les influences de votre alimentation sur votre sommeil ? Quelles bonnes pratiques adopter pour une nuit reposante ? L’Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV) a établi que l’alimentation est un des éléments qui aide à bien dormir.

Dîner au bon moment

L’horaire idéal, c’est deux à trois heures avant le coucher. Un dîner sauté ou avalé trop tôt occasionne une sensation de faim qui écourte la durée du sommeil.
À l’inverse, à la suite d’un souper tardif, trop copieux ou trop gras, la digestion risque de perturber l’endormissement. En cas de dîner festif, mieux vaut donc retarder son heure de coucher, ce qui limite au passage le risque de reflux acide lié à la position couchée. Prudence avec les aliments difficiles à digérer: artichaut, chou…

Protéines à midi, glucides le soir

Les protéines favorisent la production par l’organisme d’adrénaline et de dopamine, hormones associées au réveil et à la vigilance. Légumineuses, viande, volaille, poisson sont donc à réserver au déjeuner, ce qui n’empêche pas de manger un œuf ou une tranche de jambon le soir.
Les glucides (sucres), quant à eux, stimulent la sécrétion de mélatonine, une hormone essentielle à l’endormissement. En outre, pour éviter un réveil précoce, la glycémie, ou taux de sucre sanguin, ne doit pas être trop basse durant la nuit.

Modérer les excitants

Vitamine C, caféine, alcool, nicotine (tabac, patchs ou gommes) retardent l’endormissement ou nuisent à la qualité du sommeil.
Les fruits et légumes riches en vitamine C (agrumes, kiwi, poivron, épinards…) n’ont en revanche aucun impact puisqu’une portion n’en fournit pas plus de 100mg.
La caféine et la nicotine sont des substances excitantes qui rendent le sommeil plus léger et multiplient les réveils nocturnes. Il est prudent de boire son dernier café ou thé vers 16 ou 17 heures, selon l’heure du coucher, et d’éviter de fumer en fin de journée.
Quant à l’alcool, il a une action sédative rapide, mais il perturbe le sommeil et induit des réveils en seconde partie de nuit. En fonction de la tolérance de chacun, un verre de vin au dîner ne pose pas de problème, mais gare aux dîners conviviaux trop arrosés! Surtout que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé et donc à consommer avec modération.

Le sommeil, bon aussi pour la ligne

Outre des effets négatifs sur la mémoire et les défenses immunitaires, le manque de sommeil favorise la prise de poids et le diabète de type 2. Des nuits trop courtes dérèglent la production de diverses hormones, en particulier d’insuline, qui sert à normaliser le taux de sucre sanguin. Sans compter que la fatigue incite à manger des “douceurs” pour retrouver de l’énergie. Même si les besoins en sommeil évoluent avec l’âge, dormir au moins six heures est nécessaire pour garder la ligne, selon les experts de l’INSV.

JMG PRODUITS DE SAISON Pasteque

Fruit de saison : la pastèque

JMG PRODUITS DE SAISON Pasteque

Elle est au menu chez JMG !

La pastèque (Citrullus lanatus) est une plante volubile de la famille des cucurbitacées. Originaire d’Afrique centrale, elle peut renfermer jusqu’à 92% d’eau, ce qui lui a valu le surnom de melon d’eau. Cette réserve s’avère bien utile et pratique dans les régions arides où l’eau vient à manquer.

Elle apparaît déjà du temps de l’Egypte antique. Il est d’ailleurs toujours de coutume dans ce pays d’en offrir aux voyageurs de passage aux portes du désert.

À savoir :

  • Une pastèque pèse entre 3 et 4 kg. Ce gros fruit sphérique recouvert d’une peau épaisse vert zébré recèle une pulpe d’un rouge profond.
  • Sa chair, légèrement croquante et peu sucrée, est très désaltérante.
  • La pastèque est très riche en eau et légère en calories. Ce fruit riche en vitamines est votre atout forme pendant les beaux jours.
  • Ce fruit désaltérant est délicieux croqué nature, taillé en larges quartiers juteux et gourmands. Coupée en dés ou en billes, la pastèque se marie avec d’autres fruits, des crudités, de la menthe… pour des recettes rafraîchissantes.
  • 1,3 kg de pastèque est consommé par personne et par an en France. 19 % des ménages en achètent au moins une fois dans l’année.

Où est elle produite en France ?

La production française de pastèque annuelle est en moyenne de 17 tonnes. C’est en Guyane, en région PACA et en Guadeloupe que la production est la plus importante.

 

Bien la choisir :

  • Vendue entière, fiez-vous à son poids. Elle doit être lourde et ferme, et l’écorce, lisse et brillante.
  • Les moitiés et les quarts de pastèque sont vendus protégés de film alimentaire. Préférez alors un fruit dont la chair est d’un beau rouge soutenu.
  • Une belle tache jaune sur la peau signifie que le fruit a bien pris le soleil et qu’il est donc parfaitement mûr.

Les différentes variétés commercialisées en France (Crimson Sweet, Charleston Gray, Sugar Baby ou encore la pastèque sans pépins) ont toutes sensiblement le même goût. Vous pouvez donc vous tourner vers l’une ou l’autre sans hésiter pour retrouver le goût sucré et désaltérant de la pastèque.

Bien la conserver :

  • Entière, la pastèque ne craint pas les chocs. Vous pouvez la conserver à l’air ambiant au moins une semaine entière. Veillez à ce qu’il fasse frais, sinon elle continuera à mûrir.
  • Une fois découpée, prenez bien soin d’emballer sa chair dans du film alimentaire et conditionnez-la dans le réfrigérateur. Elle se gardera six jours environ.

 

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Sources : lesfruitsetlegumesfrais.com

 

 

Les produits de saison : zoom sur la blette

La « blette », également nommée « bette » est apparue en France au XIIIe siècle. Très proche de la betterave, cette plante potagère de la famille des chénopodiacées est cultivée pour ses feuilles et ses côtes.

Consommée depuis l’Antiquité, la plante reste très proche de ce qu’elle était il y a des siècles. Les Grecs et les Romains l’employaient pour des usages culinaires et médicinaux tandis qu’elle constituait l’ingrédient principal de la « Porée », une soupe très populaire au Moyen-âge.

De couleur blanche, verte, jaune ou rouge, les blettes sont utilisées dans la confection de nombreux plats. Souvent cuites à la vapeur ou à la poêle, elles peuvent être dégustées en gratin, en tarte et cake salé, en simple poêlée ou en soupe authentique… De nature douce et fondante, la blette est très appréciée. En France, les deux variétés de blettes les plus commercialisées correspondent à la blette blonde à carde blanche et à la blette verte à carde blanche.

Nutrition et bienfaits

Très pauvre en calories, la blette bénéficie de véritables atouts nutritionnels. Elle contribue aux apports en protéines, en potassium, en phosphore ou encore en calcium. Bon à savoir : les feuilles et les côtes sont nutritionnellement complémentaires.

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Les choisir

Pour des blettes fraîches, privilégiez les feuilles non déchirées, souples, fermes et bien colorées. Les côtes doivent être fermes et bien blanches afin d’éviter toutes marques d’oxydation.

Les conserver

Il existe plusieurs façons de conserver ces plantes potagères. Il faut savoir qu’elles se conservent plus longtemps en bottes qu’en feuilles individuelles. Elles doivent être enveloppées dans un torchon préalablement humidifié et bien serré. Cela permettra de les conserver plusieurs jours, dans le bas du réfrigérateur.

Les cuisiner

La blette se consomme crue ou cuite. Elle demande une préparation rapide. Moins de 10 minutes sont nécessaires pour confectionner des plats gourmands. Elle doit être détachée de sa peau fibreuse, rincée et égouttée. Il est ensuite nécessaire de séparer les feuilles des côtes puis de les déchirer en deux avec vos mains.

Les blettes se marient à merveille avec la plupart des légumes, notamment les tomates, les carottes, les pommes de terre et même les champignons. Elles sont également délicieuses associées à des pâtes, du riz et de la viande.

Au menu en avril !

 JMG Traiteur vous livre, comme toujours, des menus de qualité sur votre lieu de travail ou à domicile ! Découvrez un aperçu du large choix que nos cuisiniers vous préparerons durant le mois d’avril

En entrée :

  • Acras de morue
  • Œuf mayonnaise fraiche au persil
  • Moules à la catalane
  • Salade ebly niçoise
  • Mortadelle
  • Concombre à la ciboulette
  • Carottes rapées avec vinaigrette « maison »
En plat principal
  • Colin à la napolitaine
  • Pintade rôtie
  • Sauté de dinde à la chinoise
  • Tarte oignons lardons
  • Couscous poulet
  • Navarin d’agneau
  • Moules sauce poulette
  • Pavé de hoki froid à l’Aioli
En accompagnement
  • Purée d’épinard au lait fermier
  • Nouilles à la chinoise
  • Ebly aux petits légumes
  • Carottes aux oignons confits
  • Poêlée de légumes champêtre
  • Pommes de terre Waterzoï
  • Fondue de courgettes

En fromage

  • Tome noire
  • Fourme d’Ambert
  • Brie
  • Morbier

En dessert

  • Gâteau moelleux ananas coco
  • Tarte pomme rhubarbe
  • Compote à la framboise
  • Millefeuille
  • Compote de pommes bio

Et découvrez l’intégralité des menus sur votre espace de commande ! 

Vous n’êtes pas encore client ? vous souhaitez plus d’informations ? Contactez-nous

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Suggestion du mois : la tartiflette façon JMG

De la Pela des Aravis à la tartiflette…

Ce sont les hauts-savoyards qui ont inventé la tartiflette. Jusque là peu de surprise, mais saviez-vous que sa recette telle que nous la cuisinons aujourd’hui est une descendante d’une recette beaucoup plus ancienne : La Pela des Aravis ?
Cuisiné dans une poêle à manche très long, tel une pelle qui donnera l’appellation Pela, ce plat paysan et rustique n’est alors composé que de pommes de terre, d’oignons et de Reblochon.
Ce n’est qu’au milieu du 20ème siècle qu’on y ajoute des lardons et du vin blanc. C’est alors que le nom tartiflette apparaît, directement tiré de la pomme de terre «tartiflâ» en Savoyard.

Pela ou tartiflette, le reblochon est roi !

Savoyards et amateurs de ce plat, adopté dans la France entière, sont unanimes : la réussite de la tartiflette réside dans la qualité du Reblochon.
Fermier ou laitier, reconnaissable par leur pastille respectivement verte et rouge, le reblochon est un fromage de Savoie connu pour sa saveur et son fondant.
Il tire son nom de «reblocher», traire une deuxième fois la vache en savoyard. Le lait obtenu est alors encore plus riche et crémeux. (Cela permettait également, à l’époque, de tirer du lait après le passage du collecteur de l’impôt et ainsi réserver ce petit régal à la famille)
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Produits de saison : 2 aliments à consommer en novembre !

Pour profiter de bons produits frais et réaliser des économies, rien de mieux que de privilégier les produis de saison !
En novembre on vous recommande les endives et les kiwis !

L’endive

Avec son petit goût amer, l’endive est cuisinée sous de nombreuses déclinaisons et est un incontournable des repas en hiver. Elle peut être dégustée froide en salade, en velouté, chaude en gratin, braisée, à la vapeur ou encore dans une quiche.
L’endive est un légume aux multiples bienfaits pour la santé qui est souvent recommandée lors des régimes alimentaires :
  • Un diurétique : se composant à 95% d’eau, elle permet d’éliminer les toxines
  • Un digestif naturel : en plus de se digérer très facilement, ses fibres régulent le transit et facilite la digestion
  • Un anti-oxydant : elle protège des maladies cardio-vasculaires et du vieillissement
Elle contient également un grand nombre de vitamines : vitamines du groupe B, vitamine A et vitamine C. Elles servent à diminuer le mauvais cholestérol, lutter contre le vieillissement des cellules et assimiler les nutriments.

Le kiwi

Originaire de Chine, le kiwi est apparu en Europe au XIXe siècle. Cultivé essentiellement en Nouvelle-Zélande et en Italie, la France détient toutefois sa propre culture dans le Sud-Ouest à Adour qui bénéficie de l’IGP et du Label rouge.
Sa chair verte apporte de la douceur alors que son cœur blanc est plein d’acidité. Il est généralement consommé cru à la petite cuillère mais il est aussi très bon cuisiné dans un gâteau ou en verrine puisque son acidité vient casser le sucre trop présent dans certains desserts. Côté salé, vous pouvez marier le kiwi avec du fromage frais et des noix en smoothie, par exemple.
De plus, le kiwi est reconnu pour ses valeurs nutritionnelles :
  • Vitamine C : deux fois plus que l’orange ;
  • Vitamine B9 : renforce le système immunitaire ;
  • Vitamine E : véritable anti-inflammatoire ;
  • Cuivre : permet la production de collagène ;
  • Potassium : favorise la digestion.
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Le médecin nutritionniste JMG : pour associer plaisir et qualité nutritionnelle

Notre médecin nutritionniste joue un rôle important dans notre mission de vous livrer le “bien manger”.
Lorsque vous commandez vos menus, vous pouvez suivre ses recommandations dans le choix de plats qui vous est proposé. Elles vous apportent un équilibre alimentaire durable dans vos repas quotidiens.
Outre ces recommandations, notre médecin nutritionniste nous apporte son expertise pour la préparation des plats que nous vous proposons. Il met en relation vos besoins nutritionnels et les apports de notre cuisine pour nous permettre de vous livrer tous les jours des repas équilibrés de qualité.
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Des crudités locales et fraîches dans vos menus JMG !

Nos crudités sont préparées avec des produits locaux (quand les stocks sont suffisants et disponibles pendant les saisons). Des exploitations à taille humaine qui proposent des produits d’une très grande fraîcheur. Leur croquant, leur goût et leurs valeurs nutritionnelles apportent à nos crudités une qualité incomparable aux préparations industrielles.

Entièrement préparées dans nos cuisines !

Une fois ces produits frais livrés, nos cuisiniers prennent le relais. Ils sont lavés, épluchés et préparés dans nos cuisines. Accompagnées d’une vinaigrette maison, ces crudités que vous retrouvez dans vos menus JMG vous apportent plaisir, fraîcheur et équilibre alimentaire !

>> Découvrez la liste de nos fournisseurs locaux