JMG AU MENU EN SEPTEMBRE

Au menu en septembre

JMG AU MENU EN SEPTEMBRE

Pour la rentrée, nos cuisiniers vous ont préparé des menus riches en saveurs ! Chaque jour, vous aurez le choix entre 5 entrées, 9 plats principaux (dont un menu végétarien), 5 accompagnements (dont un légume vert chaque jour), 3 fromages/laitages et 3 desserts. Le tout cuisiné avec des produits de qualité, de saison et locaux ! 

Menus complets livrés sur votre lieu de travail pour moins de 6,50 € !


Parmi le large choix que nous vous proposerons au mois de septembre, vous pourrez choisir :

En entrée :

  • Crevettes roses avec beurre
  • Œuf mayonnaise fraîche ciboulette
  • Cervelas ravigote
  • Filet de maquereaux au vin blanc
  • Tomate mimosa
  • Salade de l’ami molette
  • Sardines à la tomate
  • Salade de lentilles au haddock
  • Salade fraîcheur rose et verte
  • Potage parisien
  • Salade écolière
En plat principal
  • Paupiette de veau
  • Choucroute alsacienne
  • Pavé de hoki sauce citronnée
  • Filet de poulet grillé mariné au citron
  • Jambon braisé sauce chablisienne
  • Pièce du boucher grillée
  • Tajine de friboulettes d’agneau
  • Crépinette à la diable
  • Longe de Porc de Touraine au miel et curcuma
  • Romesco de poisson du marché
  • Sauté de porc de Touraine aux olives
  • Rôti de veau froid sauce gribiche
  • Tripes à la mode de Caen
  • Tarte tomates chèvre basilic
  • Omelette lyonnaise
En accompagnement
  • Poëlée de légumes orientale
  • Riz forestière
  • Semoule de couscous
  • Carottes aux oignons confits
  • Carotte vichy
  • Pommes vapeur du Val de Loire
  • Purée de chou-fleur au lait fermier
  • Endives meunières
  • Purée d’aubergine au lait fermier

En fromage

  • Mimolette
  • Tartare au noix
  • Pyrénées
  • Brie
  • St Nectaire

En dessert

  • Entremet chocolat au lait fermier
  • Crumble aux pommes et myrtilles
  • Tarte grillée aux abricots
  • Entremet vanille et raisins au lait fermier
  • Millefeuille
  • Gâteau moelleux ananas coco
  • Compote de pommes bio
  • Tartellette Amandine

 

Et découvrez l’intégralité des menus du mois de septembre sur votre espace de commande ! 

 

Vous souhaitez avoir plus d’informations sur nos livraisons ? Contactez-nous

Fruits & Légumes Terroirs

Fruits & légumes “100% experts terroirs”

Melons, pêches, nectarines, abricots, courgettes, tomates,… Des fruits & légumes “100% experts terroirs” à retrouver chaque jour dans vos menus JMG livrés en entreprise et à domicile.

Le “100 % experts terroirs” : l’exigence de la qualité

Le “ 100% experts terroirs” ce sont des producteurs amoureux de leur métier et de leur terre qui ont fait le choix de répondre à un cahier des charges strict en matière de critères de production et organoleptiques.
Une sélection des meilleures variétés provenant des meilleurs terroirs et une récolte au meilleur moment sont la garantie d’une grande qualité gustative et nutritionnelle des fruits et légumes que vous retrouvez dans vos menus JMG.

Quelques producteurs “ 100% experts terroirs”

David Monceret, producteur de melons “100% experts terroirs” à Beaumont de Lomagne (82) :
“ Nous apportons un soin particulier tout au long de la production : choix des parcelles les mieux exposées dans les coteaux du Tarn-et-Garonne et du Gers, sélection des meilleures variétés de type Charentais jaune et mise en place de ruches dans les plantations pour favoriser la pollinisation et une cueillette quotidienne pour garantir une juste maturité et une fraîcheur du produits.”
Frédéric Marchesin, producteur de tomates “100% experts terroirs” à Puch d’Agenet (47) :
“ Entreprise familiale implantée sur les premières terrasses de la vallée de la Garonne, je perpétue le savoir-faire de la culture de tomates de pleine terre du marmandais. J’utilise des engrais verts à base de légumineuses et du fumier afin de nourrir les sols en azote et minéraux. Les sols limono-sableux permettent d’apporter aux plants toute l’eau et les nutriments dont ils ont besoin pour bien pousser. J’obtiens des tomates d’une belle couleur, parfumées et riches en goût.”
Jean-Louis Rochat, producteur d’abricots “100% experts terroirs” à Salaise-sur-Sanne (38) :
“ L’abricot de nos régions est un fruit du soleil bien adapté à notre terroir de galets. 70% des vergers sont équipés de systèmes d’irrigation localisés sous les arbres pour réduire au minimum l’apport en eau et garantir des fruits plus savoureux et de meilleure tenue”
Emmanuel Dedael, producteur de concombres “100% experts terroirs” à Ste Bazeille (47) :
“ L’humidité de la terre et les soins apportés à la plante permettent d’obtenir un concombre bien vert sans trace jaune, croquant et au goût caractéristique. La bonne prolifération des racines, associée à la taille, permet de bien aérer les cultures et de limiter les maladies. Les concombres sont récoltés et expédiés le jour même pour maximiser leur fraîcheur.”
Produit de saison : le melon

Produit de saison : le melon

Jaune ou vert, bien rond ou légèrement ovale, à chair orangée ou verte…Si le melon de type charentais est le plus répandu sur nos marchés, il existe bien d’autres variétés de melon.


Le charentais…

La mention « charentais » désigne un type commercial et ne traduit absolument pas une origine géographique. Il peut-être cultivé dans plusieurs régions de France, ainsi qu’en Espagne, au Maroc, ou encore en Guadeloupe.
Parmi le type charentais, on distingue le Charentais jaune et le Charentais vert.
Le charentais jaune
Cette variété est la plus consommée en France. Ce fruit a la particularité de dégager un gaz, l’éthylène, qui entraîne une maturation naturelle. Il a donc une durée de conservation limitée.
  • Robe : lorsqu’il arrive à maturité, sa peau vert clair se colore légèrement de jaune et son pédoncule se détache facilement.
  • En bouche : très parfumée, sa chair orange est sucrée et juteuse.
Le charentais vert
Il se conserve plus longtemps car il dégage une faible quantité d’éthylène, mais est légèrement moins savoureux.
  • Robe : en règle générale, elle reste vert clair à maturité mais peut aussi prendre une teinte laiteuse à légèrement jaune.
  • En bouche : moins parfumé que son cousin jaune, sa chair est souvent croquante et sucrée.

… et les autres !

  • Le « Brodé américain » : plutôt rond et entièrement recouvert d’une broderie très serrée sur toute la surface du fruit.
  • Les « Brodés italiens » (jaunes ou verts) : de forme ovoïde ils ont une chair toujours orangée.
  • Le « Canari » : de forme allongée, il a une forme très caractéristique accompagnée d’une coloration jaune vif prononcée , ce fruit présente une chair de couleur blanche.
  • Le « Galia » : il possède une forme toujours ronde, une robe plutôt jaune avec une broderie fine laissant apparaître la couleur de l’épiderme.
  • Le « Piel del Sapo » : de forme ovale et souvent de très gros calibre ; d’une couleur d’épiderme plutôt vert foncé, sa chair est toujours blanche.

Bien le choisir

  • soupesez votre melon avant tout. Il doit être lourd ;
  • son écorce doit être souple ;
  • un melon mûr exhale un parfum typique. Plus il est mûr, plus il est odorant. Choisissez-le parfumé mais pas trop ;
  • observez le pédoncule ; il se décolle lorsque le fruit est à maturité.

Bien le conserver

Entre 8 et 12°C !
L’idéal est de le conserver dans un cellier ou une cave mais le bac à légumes de votre réfrigérateur peut faire l’affaire. Il ne faut cependant pas le laisser plus de 6 jours.Emballez-le dans une boîte ou un sachet hermétique pour ne pas que son odeur se propage aux autres aliments.

Benfaits

Contenant beaucoup d’eau, le melon est très désaltérant et peu calorique. Il regorge également de vitamines et de minéraux. Riche en vitamine B9, le melon est également source de potassium.
Navarin d'agneau

Recette du mois : le navarin d’agneau printanier

Grand classique de la cuisine traditionnelle, le navarin d’agneau est un plat familial qui fleure bon les légumes de saison. Pour le déguster, vous pouvez le commander dans vos menus JMG ! Il est entièrement préparé par nos cuisiniers avec des produits de qualité.
Pour le réaliser vous-même, nous vous offrons la recette :

Ingrédients (4 personnes) :

  • 500 grammes de collier d’agneau
  • 500 grammes d’épaule d’agneau
  • 8 pommes de terre grenaille
  • 8 petits navets
  • 8 petites carottes
  • 400 grammes de petits pois écossés
  • 20 grammes de saindoux (ou huile)
  • 6 petits oignons blancs
  • 1 gousse d’ail
  • 1 cuillère à soupe de farine
  • 1 cuillère à soupe de concentré de tomates
  • 1 bouquet garni
  • 1 cuillère à café de sucre
  • 1 pincée de bicarbonate de sodium
  • 10 cl de vin blanc sec
  • sel, poivre

Préparation :

1/ Découpez l’épaule d’agneau en morceaux puis pelez les oignons et l’ail. Mettez le saindoux à chauffer dans une cocotte, ajoutez les morceaux de viande coupés et les faire revenir sur toutes les faces. Ensuite, déposez les morceaux de viande dans une assiette puis dégraissez la cocotte.
2/ Remettez la viande et les oignons dans la cocotte et saupoudrez avec la farine. Arrosez le tout de vin blanc et couvrez d’eau à hauteur de la viande. Ajoutez l’ail, le bouquet garni et le concentré de tomates. Salez et poivrez, puis faites mijoter le tout à couvert dans le bouillon, à feu doux, durant 1 heure.
3/ Épluchez et lavez les pommes de terre, les navets et les carottes pour ensuite les faire cuire à la vapeur pendant 10 à 15 min. Mettez les petits pois écossés dans une casserole et couvrez-les d’eau froide. Ajoutez-y du sel, une cuillère à café de sucre et le bicarbonate de sodium. Portez le tout à ébullition et laissez cuire pendant 10 à 15 min.
4/ Une fois la viande ayant cuit pendant 1 heure, ajoutez dans la cocotte les légumes précuits et égouttés pour compléter votre recette de navarin d’agneau printanier. Mélangez tous les ingrédients et faites cuire encore une quinzaine de minutes.

Il ne vous reste plus qu’à déguster votre navarin d’agneau printanier !

Zoom sur les cerises

Produit de saison : la cerise

La cerise est le premier fruit à noyau de l’année. Sucrée ou acidulée, elle peut se consommer crue ou cuite. Elle est un peu plus calorique que les autres fruits, mais elle possède des qualités nutritionnelles dont il serait dommage de se priver !

La cerise dans l’histoire :

Il a été établi que le cerisier était présent 3 000 ans avant notre ère.
Les Romains prétendent l’avoir introduit en Europe, rapporté d’Asie mineure en l’an 73. Des textes plus anciens démontrent toutefois que le fruit rouge était déjà connu en Grèce, en Italie et en Gaule, bien avant cette date, sans pour autant nous donner plus de précisions…
En France, la cerise s’est surtout imposée au Moyen-Âge. C’est ensuite Louis XV, grand amateur de ce fruit, qui encouragera la culture et le développement de la production.

Bon à savoir :

  • Une poignée de cerises pèse 100 grammes en moyenne. Selon les variétés, sa peau est rouge (plus ou moins foncé), noire ou jaune orangé. Sa chair est sucrée (90 % de la production française) ou acidulée.
  • Les cerises sont souvent consommées telles quelles ou cuisinées en dessert : tartes, clafoutis, confiture, salades de fruit, etc. Mais vous pouvez également les préparer en garniture ou en sauce avec le canard, les gibiers, le porc et le veau. Vous pouvez aussi les intégrer à des crudités ou des salades.
  • Les cerises sont un peu plus sucrées et caloriques que les autres fruits rouges. Toutefois, elles contiennent de nombreuses vitamines (B et C) ainsi que des minéraux.
  • La saison des cerises est courte : de mai, pour les variétés les plus précoces, à fin juillet, pour les plus tardives.

Bien les choisir :

  • Premier signe de fraîcheur : le pédoncule (la queue). Celui-ci doit être bien vert et solidement attaché.
  • Sélectionnez les fruits les plus brillants, charnus et colorés : notez que certaines variétés sont très pâles et d’autres très foncées.
  • Enfin, évitez les cerises qui ont déjà des traces de meurtrissures : elles ne se garderont pas très longtemps.

Bien les conserver :

L’idéal est de consommer les cerises le jour-même. Vous pouvez cependant les garder trois jours à température ambiante et jusqu’à cinq jours au réfrigérateur. Dans ce cas, placez-les dans une boîte hermétique pour les préserver des odeurs. Et pensez à les sortir au moins 20 minutes avant de les déguster, afin qu’elles puissent retrouver toutes leurs saveurs, neutralisées par le froid.

Les bienfaits de la cerise :

Elle renferme une quantité précieuse de vitamines et de minéraux. Également riche en fibres et en antioxydants, elle participe à votre équilibre intérieur.
Source : lesfruitsetlegumesfrais.com
Gaspillage Alimentaire

La chasse au gaspillage alimentaire

Chaque Français jette 80 kilos de nourriture par an ! Une aberration économique et écologique ! On vous livre ici quelques idées pour ne rien jeter et lutter contre le gaspillage alimentaire à la maison.

Faites une liste

Une liste de courses mal faite, incomplète, mal dosée ou même absente est cause de gaspillage. Sans liste, on achète des produits qu’on a déjà dans les placards, on compte des repas alors qu’on est absent(e), ou quand les enfants ont prévu de sortir…
Faites l’inventaire du frigo avant de partir. Estimez le nombre de repas à prévoir et le nombre de personnes à chaque repas, afin d’éviter d’acheter trop. Et dans l’idéal, prévoyez les menus de la semaine pour acheter ce dont vous avez besoin, et rien d’autre.
Bonne nouvelle, des applications mobiles permettent de simplifier la liste de courses, avec des listes préenregistrées et des cases à cocher.

Achetez du frais

Et si le frais pouvait, aussi, réduire le gaspillage alimentaire ? Préférer les produits frais impose, certes, des courses plus fréquentes et une bonne gestion du frigo. Mais des courses plus fréquentes engendrent également des stocks plus faciles à gérer. Mieux, les produits frais sont peu ou pas transformés, Ils occasionnent donc peu, ou pas de pertes dues à leur transformation en usine… et sont bien meilleurs pour la santé.

Rangez le frigo

Ne pas jeter, c’est conserver les aliments aussi longtemps que possible, dans les meilleurs conditions possibles… et pour ce faire, rien de plus efficace qu’un réfrigérateur rangé et ordonné.
Dans la zone la plus froide, conservez les viandes crues et hachées, les pâtisseries, les crèmes fraîches, crudités, fromages frais et plats cuisinés.
Placez les crèmes entamées, les autres produits laitiers, les viandes ou poissons cuits dans la zone intermédiaire. La zone la moins froide, généralement le bac à légumes, accueillera les fruits, légumes et fromages non frais. Quant aux œufs, au beurre ou aux boissons, direction la porte.
Rangez également les achats les plus récents au fond du frigo, afin de consommer les produits plus anciens avant les nouveaux.

Recyclez les restes

Recycler les restes et réinventer les plats, c’est ludique autant qu’économique… et écologique. Plutôt que de jeter les restes de plat, emballez-les soigneusement et glissez-les au frigo. Vous avez déjà votre repas pour le lendemain.
Autre plan : accommodez les restes ! Nombreuses sont les recettes qui se préparent avec les restes de la veille ! Elles évitent le gâchis, et sont aussi gourmandes qu’avec des produits frais. N’oubliez pas, au passage, que les plats mijotés sont encore meilleurs réchauffés.
Si vous ne savez pas quelle recette adopter, mixez ! Les fruits deviennent smoothies, les légumes se transforment en soupe et tous peuvent faire des sauces.

Osez le compost

Rien ne se perd, tout se transforme, les déchets alimentaires comme le reste. Et non, il n’est pas nécessaire de disposer d’un jardin et d’un bac immense pour composter : il existe des composteurs de balcon ou des composteurs de cuisine compacts et sans odeurs, fonctionnant avec un activateur à ajouter aux déchets !
En règle générale, tous les déchets végétaux se compostent (fruits, légumes, fleurs, céréales, légumineuses…), ainsi que les coquilles d’œuf broyées, le thé et le café avec leurs filtres, le papier journal, les feuilles mortes.
Les aliments gras ou durs sont à éviter, de même que les agrumes.
Plus les déchets sont petits, plus ils se décomposent facilement. N’hésitez pas à déchirer, broyer, et découper avant de composter.
Zoom sur l'artichaut

Zoom sur l’artichaut !

Un artichaut pèse 300 grammes en moyenne. Ses feuilles denses se colorent de vert soutenu, de vert tendre ou d’un peu de violet. Moyennement énergétique, il est gorgé de minéraux. Sa richesse en fer et en vitamine C en fait un bon atout anti-fatigue.

Variétés

Les 2 variétés les plus répandues en France sont l’artichaut blanc et le violet.
Le blanc : Le camus Breton
Il est reconnaissable par ses feuilles mates en forme d’écailles de couleur gris-vert, qui forment une boule volumineuse. Il est cultivé, comme son nom l’indique, en Bretagne. Il ne se déguste jamais cru. La cuisson à la vapeur, à l’eau ou à l’autocuiseur lui convient parfaitement.
Le violet de Provence :
De forme conique recouverte de feuilles de petite taille teintées de vert tendre et de violet soutenu, il est cultivé aussi bien dans le Sud de la France qu’en Bretagne. Il se consomme cru ou cuit quelques minutes dans l’eau bouillante.

Les modes de cuisson :

  • 20 à 40 min (selon la taille) dans une casserole d’eau bouillante salée,
  • 10 min à l’autocuiseur,
  • 8 min au four à micro-ondes pour les plus pressés.
Et pour savoir s’il est bien cuit, il suffit de tirer sur une de ses feuilles. Si elle se détache sans présenter de résistance, à vos assiettes !

Mariages et assortiments

Étant donné que sa saveur fine et sa texture gourmande peuvent se suffire à elles-mêmes, l’artichaut est le plus souvent seulement accompagné d’une vinaigrette ou d’une mayonnaise.
Cependant, vous pouvez également l’assortir d’une béchamel délicatement relevée de muscade. L’artichaut se marie également très bien avec de la viande de porc.

Valeurs nutritionnelles

Zoom Sur La Fraise

Zoom sur la fraise !

Chaque année au printemps, les fraises font leur retour sur les étals. Neuvième fruit le plus consommé par les Français en volume, notre territoire national n’est qu’un petit producteur au niveau européen (5% de la production, contre 25% pour l’Espagne). Cependant, le fraisier reste un habitué de nos potagers !

Les différentes variétés :

Sucrées et acidulées :

•    La Gariguette : relativement récente sur le marché, la Gariguette est aujourd’hui la star des fraises grâce à sa finesse et à ses qualités gustatives. 73 % des Français la connaissent ! De couleur rouge vermillon, elle est plutôt de taille moyenne, fine et allongée. Juteuse et fondante, elle libère des arômes sucrés et acidulés.
•    La Ciflorette : c’est une variété très appréciée, disponible dès le mois de mars. De forme allongée, sa couleur varie de l’orangé au rouge brique. Elle se caractérise par sa chair fine, juteuse, riche en saveurs et très sucrée.

Sucrées :

•    La Cléry : une variété récente originaire d’Italie. Elle présente une robe de couleur rouge cardinal, avec une forte brillance. Disponible de mars à mai, elle est produite dans le Sud-Est et le Sud-Ouest de la France.
•    La Darselect : elle fait partie des fraises dites « rondes ». De couleur rouge clair, elle est ferme, juteuse, sucrée et aromatique.

Parfum des bois :

•    La Charlotte : Fraise préférée des enfants, la Charlotte est une variété remontante (qui produit des fleurs plusieurs fois dans la saison). Elle est reconnaissable à sa forme de cœur et à sa couleur rouge vif. À la fois juteuse et sucrée, la Charlotte offre une chair tendre au parfum de fraise des bois.
•    La Mara des Bois : elle rappelle, elle aussi, le goût de la fraise des bois. Ses qualités gustatives peuvent être appréciées pendant une bonne partie de l’année. De couleur rouge clair, elle est juteuse, sucrée (voir très sucrée), très parfumée et très aromatique (arômes musqués).

Nutrition et bienfaits

La fraise est l’un des fruits les moins caloriques. Il est également l’un des mieux dotés en vitamine C.

Le détail :
•    Calories (kcal pour 100 g) : 34,9
•    Protéines (g pour 100 g) : 0,65
•    Glucides (g pour 100 g) : 6,14
•    Lipides (g pour 100 g) : 0,18
•    Vitamine C (mg pour 100 g) : 67,4
•    Vitamine B9 (µg pour 100 g) : 70,5
•    Potassium (mg pour 100 g) : 171
•    Calcium (mg pour 100 g) : 13,1
•    Magnésium (mg pour 100g) : 14,1
•    Phosphore (mg pour 100 g) : 23,4

Bien Dormir

Bien manger pour bien dormir !

Quels sont les influences de votre alimentation sur votre sommeil ? Quelles bonnes pratiques adopter pour une nuit reposante ? L’Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV) a établi que l’alimentation est un des éléments qui aide à bien dormir.

Dîner au bon moment

L’horaire idéal, c’est deux à trois heures avant le coucher. Un dîner sauté ou avalé trop tôt occasionne une sensation de faim qui écourte la durée du sommeil.
À l’inverse, à la suite d’un souper tardif, trop copieux ou trop gras, la digestion risque de perturber l’endormissement. En cas de dîner festif, mieux vaut donc retarder son heure de coucher, ce qui limite au passage le risque de reflux acide lié à la position couchée. Prudence avec les aliments difficiles à digérer: artichaut, chou…

Protéines à midi, glucides le soir

Les protéines favorisent la production par l’organisme d’adrénaline et de dopamine, hormones associées au réveil et à la vigilance. Légumineuses, viande, volaille, poisson sont donc à réserver au déjeuner, ce qui n’empêche pas de manger un œuf ou une tranche de jambon le soir.
Les glucides (sucres), quant à eux, stimulent la sécrétion de mélatonine, une hormone essentielle à l’endormissement. En outre, pour éviter un réveil précoce, la glycémie, ou taux de sucre sanguin, ne doit pas être trop basse durant la nuit.

Modérer les excitants

Vitamine C, caféine, alcool, nicotine (tabac, patchs ou gommes) retardent l’endormissement ou nuisent à la qualité du sommeil.
Les fruits et légumes riches en vitamine C (agrumes, kiwi, poivron, épinards…) n’ont en revanche aucun impact puisqu’une portion n’en fournit pas plus de 100mg.
La caféine et la nicotine sont des substances excitantes qui rendent le sommeil plus léger et multiplient les réveils nocturnes. Il est prudent de boire son dernier café ou thé vers 16 ou 17 heures, selon l’heure du coucher, et d’éviter de fumer en fin de journée.
Quant à l’alcool, il a une action sédative rapide, mais il perturbe le sommeil et induit des réveils en seconde partie de nuit. En fonction de la tolérance de chacun, un verre de vin au dîner ne pose pas de problème, mais gare aux dîners conviviaux trop arrosés! Surtout que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé et donc à consommer avec modération.

Le sommeil, bon aussi pour la ligne

Outre des effets négatifs sur la mémoire et les défenses immunitaires, le manque de sommeil favorise la prise de poids et le diabète de type 2. Des nuits trop courtes dérèglent la production de diverses hormones, en particulier d’insuline, qui sert à normaliser le taux de sucre sanguin. Sans compter que la fatigue incite à manger des “douceurs” pour retrouver de l’énergie. Même si les besoins en sommeil évoluent avec l’âge, dormir au moins six heures est nécessaire pour garder la ligne, selon les experts de l’INSV.

JMG PRODUITS DE SAISON Pasteque

Fruit de saison : la pastèque

JMG PRODUITS DE SAISON Pasteque

Elle est au menu chez JMG !

La pastèque (Citrullus lanatus) est une plante volubile de la famille des cucurbitacées. Originaire d’Afrique centrale, elle peut renfermer jusqu’à 92% d’eau, ce qui lui a valu le surnom de melon d’eau. Cette réserve s’avère bien utile et pratique dans les régions arides où l’eau vient à manquer.

Elle apparaît déjà du temps de l’Egypte antique. Il est d’ailleurs toujours de coutume dans ce pays d’en offrir aux voyageurs de passage aux portes du désert.

À savoir :

  • Une pastèque pèse entre 3 et 4 kg. Ce gros fruit sphérique recouvert d’une peau épaisse vert zébré recèle une pulpe d’un rouge profond.
  • Sa chair, légèrement croquante et peu sucrée, est très désaltérante.
  • La pastèque est très riche en eau et légère en calories. Ce fruit riche en vitamines est votre atout forme pendant les beaux jours.
  • Ce fruit désaltérant est délicieux croqué nature, taillé en larges quartiers juteux et gourmands. Coupée en dés ou en billes, la pastèque se marie avec d’autres fruits, des crudités, de la menthe… pour des recettes rafraîchissantes.
  • 1,3 kg de pastèque est consommé par personne et par an en France. 19 % des ménages en achètent au moins une fois dans l’année.

Où est elle produite en France ?

La production française de pastèque annuelle est en moyenne de 17 tonnes. C’est en Guyane, en région PACA et en Guadeloupe que la production est la plus importante.

 

Bien la choisir :

  • Vendue entière, fiez-vous à son poids. Elle doit être lourde et ferme, et l’écorce, lisse et brillante.
  • Les moitiés et les quarts de pastèque sont vendus protégés de film alimentaire. Préférez alors un fruit dont la chair est d’un beau rouge soutenu.
  • Une belle tache jaune sur la peau signifie que le fruit a bien pris le soleil et qu’il est donc parfaitement mûr.

Les différentes variétés commercialisées en France (Crimson Sweet, Charleston Gray, Sugar Baby ou encore la pastèque sans pépins) ont toutes sensiblement le même goût. Vous pouvez donc vous tourner vers l’une ou l’autre sans hésiter pour retrouver le goût sucré et désaltérant de la pastèque.

Bien la conserver :

  • Entière, la pastèque ne craint pas les chocs. Vous pouvez la conserver à l’air ambiant au moins une semaine entière. Veillez à ce qu’il fasse frais, sinon elle continuera à mûrir.
  • Une fois découpée, prenez bien soin d’emballer sa chair dans du film alimentaire et conditionnez-la dans le réfrigérateur. Elle se gardera six jours environ.

 

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Sources : lesfruitsetlegumesfrais.com